O Morrer católico no viver em Juiz de Fora: 1850-1950

Abstract

Cette thèse a pour but d’étudier la mort et le mourir dans la ville de Juiz de Fora entre 18501950. Ce travail veut montrer que les attitudes de la population catholique devant la mort avaient la recherche du bien mourir comme principe fondamental, c’est-à-dire, quand les personnes se preparaient pendant toute leur vie pour mourir seulement de vieillesse. Toutefois, ce n’était pas toujours le cas à cause des maladies et des pestes qui provoquaient de nombreux décès inattendus. Quand même la rédaction du testament était courante en vue d’assurer une bonne mort. Le testateur exprimait ses désires sur ses biens et le repos de son âme. L’Église exécutait le rite de passage pour que l’âme du mort trouvait le chemin jusqu’au Ciel. C’était dans l’Église aussi où les messes ordonnées par le défunt avant son décès avaient lieu. Ainsi l’Église contrôlait la relation entre le monde des vivants et des morts. Cette relation a été heurtée devant les questions scientifiques sur les enterrements dedans les temples et les déplacements des défunts vers un cimetière public. Dans la même façon l’Église a été responsable de la diffusion de la dévotion aux saints et à Notre-Dame, et du culte aux morts dans la fête des morts. Ces pratiques contribuaient pour que les catholiques puissent assurer une bonne mort.