Padre Júlio Maria e a apologética da igreja do povo: o ideal de república democrática no final do século XIX e a educação

Abstract

L’Eglise Catholic a vécu, a la fin du XIXème siècle, un conflit avec son temps. Elle a combattu le positivisme, le libéralisme, le laïcisme et l’avance du socialisme. Au Brèsil, entre la “Question Religieuse” et la Proclamation de la Républic, il y avait un declin de son influence politique et sociale. La Lettre Pastorale Collective des Èvêques Brèsiliens de 1890 indiquait une rèation catolic. Cependant, comme il se peut percevoir dans la Lettre Pastorale des Èvêques de 1900, dix ans plus tard, il n’y avait pas une réaction coordonnée des èvêques combien a proposée dans la pastorale anterieur. De Minas Gerais, un prêtre, docteur en droit, est venu prêcher l'approche de l'Eglise au peuple, il a divulgué l’Encyclique Rerum Novarum et des autres encycliques du Pape León XIII, il a proposé une action pédagogique de l’Eglise avec le peuple défendant la démocracie républicaine. Du point de vue théologique, prêtre Júlio Maria a indiqué le rôle formative du pauvre dans l'Église. Ce fut l’experience de vie de la ville de Juiz de Fora, en accueillant les traditions catholiques brésiliennes, que telles attentes se sont articulées dans les conférences du prêtre. Entre la modernité e la tradition, il conjuguait des idées ultramontains, démocratiques et traditionalistes dans leur expérience et leur attente. Les propositions de Júlio Maria indiquaient un horizon nouveau, où l’union de l’Église au peuple, le rôle pédagogique catholic, et la théologie du pauvre comme son hierarque, a marqué la possibilité d’un temps nouveau par la même au Brèsil et la nation ellemême, sur le signe de la démocratie.